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Droits de succession : comment ça marche ?

Par Agathe , le 13 avril 2022 à 18h00 - 4 minutes de lecture
preparer droits de succession

L’impôt sur les successions est un sujet brûlant en ce moment en France. Le gouvernement ayant proposé des changements dans son fonctionnement, de nombreuses personnes se demandent comment cela va les affecter. Dans ce billet de blog, nous allons examiner de plus près les droits de succession et expliquer leur fonctionnement. Nous répondrons également à certaines des questions les plus courantes à son sujet. Alors si vous êtes curieux de connaître les droits de succession, continuez à lire !

Qu’est-ce que l’impôt sur les successions ?

Les droits de succession sont un impôt sur le transfert de propriété après le décès. Ils s’appliquent à tout bien, y compris les terrains et les bâtiments, dont la valeur est supérieure à 300 000 € au moment du décès. Les taux des droits de succession français varient selon que le défunt était marié ou célibataire. Si vous n’êtes pas sûr de votre situation ou si vous ne savez pas ce qu’est une succession et ce qu’elle implique, lisez la suite !

Lorsque les héritiers mettent la main sur cet héritage désormais précieux, ils doivent le payer avec un pourcentage de sa valeur, qui peut aller de 0 % à 40 %. Mais tout d’abord, qui paie ?

  • Le conjoint qui hérite de la succession ne paie rien s’il a résidé en France pendant au moins un an avant le décès du conjoint. Sinon, un impôt de 5 % est prélevé sur les biens dont il hérite.
  • Les enfants du défunt et leurs conjoints devront payer 10 %. Si l’un des enfants est handicapé, ce pourcentage peut être réduit à 5 %.
  • Les autres héritiers devront remettre 20% de ce qu’ils héritent. Et si un héritier vit hors de France, ce taux peut aller jusqu’à 60%.

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Il existe cependant quelques exceptions.

  • Si la succession se compose principalement de terres agricoles, les taux peuvent descendre à 5 % pour les parents proches et à 15 % pour les parents plus éloignés.
  • Les entreprises peuvent également bénéficier d’un traitement spécial, avec des taux aussi bas que 5 % pour certains types d’entreprises.

Comment la succession est-elle imposée ?

Le gouvernement français impose les successions à un taux de 20% pour la plupart des biens. Toutefois, il existe quelques exceptions à cette règle. Les terres agricoles et les entreprises peuvent être imposées à un taux inférieur, et les propriétés qui sont laissées à un conjoint ou à un enfant peuvent être totalement exonérées d’impôt.

Lorsqu’une succession est évaluée à plus de 300 000 €, les héritiers doivent payer des droits de succession sur la partie de la succession qui dépasse ce montant. Le taux d’imposition dépend de la relation entre l’héritier et le défunt. Les conjoints et les enfants sont imposés à un taux de 10 %, tandis que les autres héritiers sont imposés à 20 %. Si un héritier vit hors de France, le taux d’imposition peut atteindre jusqu’à 60 %.

Il existe quelques exceptions à ces taux. Par exemple, si la succession se compose principalement de terres agricoles, les taux peuvent être réduits à 5 % pour les parents proches et à 15 % pour les parents plus éloignés. Les entreprises peuvent également bénéficier d’un traitement spécial, avec des taux aussi bas que 5 % pour certains types d’entreprises.

Quel est le seuil des droits de succession ?

Le seuil des droits de succession en France est de 300 000 €. Cela signifie que tout bien évalué à plus de 300 000 € est soumis à l’impôt. Le taux d’imposition dépend de la relation entre l’héritier et le défunt. Les conjoints et les enfants sont imposés à un taux de 10%, tandis que les autres héritiers sont imposés à 20%. Si un héritier vit hors de France, le taux d’imposition peut atteindre 60 %.

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Comment puis-je éviter de payer des droits de succession ?

Il existe quelques moyens d’éviter de payer des droits de succession en France. L’une d’entre elles consiste à faire don de vos biens à une organisation caritative. Une autre façon est de créer un trust. Un trust est un arrangement par lequel vous transférez la propriété de vos biens à une autre personne ou organisation, qui détient et gère ensuite les biens au profit d’une autre personne. Les fiducies peuvent être utilisées pour minimiser l’imposition d’une succession, ainsi que pour protéger les biens des créanciers.

Si vous prévoyez de léguer vos biens à vos héritiers, il est important de consulter un avocat qualifié pour vous assurer que vos souhaits sont respectés et que vos héritiers ne doivent pas payer plus d’impôts que nécessaire.

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